Note de ce sujet :
  • Moyenne : 0 (0 vote(s))
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
Dragon Ball Rebirth (DBR)
#11
Enorme!!! la Suite!! du pur bonnheur!
Répondre
#12
Voici la suite !

Bonne lecture et merci pour vos commentaires !

Chapitre 6 : La Galaxie centrale

Songoku réapparu dans le magnifique jardin entourant le Palais de L’Autre Monde. Cette fois-ci, Kaioh était seul et même si le saiyen ne le voyait que de dos, il savait que quelque chose clochait. Les épaules du Roi de la galaxie Nord étaient affaissées, signe qu’il était désespéré.
Il avait tout de même sentit l’arrivée de Songoku.
- Ah te voila, fit-il en se retournant. Il essaya de cacher ses émotions, avec un résulta mitigé, ses mains tremblant légèrement malgré qu’il les serrent fortement.
- Bonjour kaioh ; dit Songoku en essayant de ne pas paraître trop détacher.
Et le silence se fit, Kaioh fixait Songoku à travers ses lunettes de soleil rondes, les sourcils froncés. Le saiyen savait que le roi avait parfois des explosions de colère où il criait à en rendre sourd.
Mais il n’en eu pas la force et d’un ton désespérer il souffla :
- Un drame vient d’arriver Songoku. Elle est revenue, et Il est avec eux. (il prit un ton affolé) Elle est revenue, et Il est avec eux ; Elle est revenue, et Il est avec eux ! Qu’allons nous faire !
Songoku ne comprenait pas. Il s’accroupit et posa une main réconfortante sur l’épaule du maître. Celui-ci se calma aussitôt.
- calme toi Kaioh, calme toi et explique moi ; fit le saiyen d’un ton apaisant. Qui est revenue ? demanda-t-il ensuite.
Le chef de sa galaxie tourna la tête et le regarda droit dans les yeux.
- La Galaxie Centrale ! révéla-t-il.
Le saiyen se redressa et eu un mouvement de recul.
- La quoi ? fit-il, frappé de stupeur. Je ne comprend pas Kaioh, je croyais qu’il n’y avait que quatre galaxies : celles du Nord, du Sud, de l’Est et de l’Ouest ; ajouta-t-il en comptant sur ses doigts. Tu ne m’as jamais parlé d’une cinquième galaxie !
- C’est parce qu’elle avait été éloignée dans les confins de l’univers pour que les habitants des quatre autres galaxies soient en sécurité ; dévoila le roi d’un air sombre.
- Mais pourquoi ? demanda Songoku, intéressé.
- Cet évènement eu lieu il y a plusieurs siècles. La galaxie centrale était la plus belle de toutes les galaxies et ses planètes n’avaient rien à envier à la Terre. Elle abritait aussi les meilleurs guerriers de tout l’univers ; raconta le Roi. La galaxie était divisée en quatre parties où les habitants avaient adopté des modes de vie complètement différents. Tandis que certains préféraient l’obscurité du mal et les guerres qui lui étaient associées, d’autres se battaient pour la paix et la prospérité. Il y avait deux autres peuples : l’un ne misait que sur les progrès technologiques et leurs combattants insufflaient leur énergie à leur machine pour les faire fonctionner, l’autre était pour une approche solidaire et en harmonie avec le milieu qui les entouraient et ils devinrent les rois de la dissimulation.
- Eh bien, ça ne devait pas être facile de faire tenir ce joli monde en place ; remarqua Songoku, songeur.
Kaioh eu un hochement de tête tendu.
- C’est exact. Chaque groupe était sous la tutelle d’un chef ayant une force extraordinaire qui devait éviter les accrochages. C’est ainsi que vécu la galaxie Centrale durant des milliers d’années : dans une paix acquise à force de travail et d’efforts de la part de chacun.
Le saiyen était fasciné, les yeux grands ouverts, il buvait les paroles du maître.
- Mais alors, que s’est-il passé pour que tu sois si inquiet, demanda Songoku.
- Il y a quelques siècles, une guerre civile éclata à cause d’un différent entre les défenseurs du bien et ceux du mal. Elle fit de nombreuses victimes et plongea la galaxie dans le chaos. Par bonheur, nous avions été avertis que de tels évènements allaient se produire et nous, kaiohs, nous pûmes nous préparer. Notre but était d’empêcher la guerre de se propager aux autres galaxies. Pour cela, nous avons envoyé le plus fort et le plus sage d’entre nous : le kaioh de la galaxie en question.
Le guerrier semblait pensif. Les mains sur les hanches, il avait légèrement levé la tête.
- Si je comprends bien, à mon arrivé vous faisiez référence à la galaxie centrale et à cet individu.
- Oui, souffla le Roi, ses épaules s’affaissant encore.
- Mais je ne comprends pas ! fit Songoku. Vous devriez être content ! S’il revient, c’est que tout est rentré dans l’ord…
Kaioh secoua la tête, le guerrier s’interrompit.
- Vois-tu, expliqua le roi, pour que notre collègue soit à la hauteur, nous lui avons transmis tous nos pouvoirs, en gardant juste assez pour rester crédibles aux yeux de nos ‘‘sujets’’. Ainsi, il obtint une force colossale mais en tant que kaioh, il lui était interdit d’intervenir directement sur le monde des vivants. Pour le bien de l’Univers, il démissionna de ses fonctions et devint le seul Kaioh Déchu de l’histoire. Une fois sur place, il entoura la cinquième galaxie d’une aura blanche et pure, et ils partirent dans les confins de l’espace jusqu'à ce que la crise soit terminée.
Songoku sembla comprendre, il fit un pas en avant.
- Vous voulez dire…commença-t-il, hésitant.
Cette fois-ci, le chef de sa galaxie hocha la tête.
- Oui, seul l’obscurité entoure la galaxie qui approche.
Songoku eu un mouvement de recul, il semblait stupéfait.
- Mais c’est impossible ; s’exclama-t-il, un kaioh ne peut pas devenir mauvais !
- As-tu écouté ce que je t’ai dis ? répondit le roi sur un ton de reproche. Il n’est plus kaioh ! Et est soumis aux mêmes faiblesses que tout être normal puisse connaître ! Y compris le pouvoir et le désir de domination ! Que la galaxie soit entourée d’une aura noire est un signe qui ne trompe pas ! Il en a pris le contrôle, ainsi que le contrôle de ses habitants ! révéla-t-il d’un ton prophétique. Il va vouloir étendre son pouvoir aux autres galaxies ! Et la notre ne fera pas exception.
Cette pensée frappa le saiyen de plein fouet. Sa galaxie, sa planète, sa famille et ses amis étaient menacés. Il devait faire quelque chose !
- Que faut-il faire pour l’empêcher de nuire ? demanda-t-il, déterminé, le poing serré. Je peux me rendre sur cette galaxie et l’éliminer !
- Ce ne sera pas si facile ! Les leaders ne te laisseront pas faire ! Tu devras les éliminer avant de t’attaquer à leur maître ! (il reprit son calme) Mais je pense qu’il y a un moyen.
Songoku parut beaucoup plus intéressé.
- Dis moi kaioh. Quel est ce moyen ? le pressa-t-il.
- Il est possible de faire entrer un petit groupe dans la galaxie. Là-bas, en espérant que tes amis t’accompagnent, vous devrez contacter Tahei, le leader de ceux qui oeuvrent pour la prospérité. Je ne pense pas que le Kaioh déchu ait réussis à le corrompre. Grâce à son aide et à ses renseignements, vous devriez pouvoir éviter les autres chefs et vous attaquer directement au Kaioh Déchu, expliqua-t-il. A vous tous, vous avez une petite chance de remporter la victoire, mais votre quête sera longue et difficile. Tes amis voudront-ils t’accompagner ? demanda-t-il, peu rassuré.
Songoku réfléchit quelques instants.
C’est vrai qu’ils risquent de ne pas apprécier que j’arrive avec des ennuis. Mais d’après Baba, ils se sont entraînés sérieusement pendant mon absence…Si c’est pour défendre ceux qu’ils aiment, ils accepteront, j’en suis certain.
Il soupira.
Chichi va m’tuer…
Il regarda kaioh.
- Ne t’inquiète pas ; le rassura-t-il, ils accepteront ? Ils ne laisseront pas quelqu’un faire du mal à leurs familles.
Pour la première fois depuis longtemps, le roi eu un sourire.
- Merci Songoku. Tu nous sauve la vie ; fit-il soulagé.
- Ce n’est vraiment rien tu sais. (Il se mit dos au roi) Je dois y aller maintenant.
- Attend ! Le doyen a laissé un message pour toi ! (Songoku haussa les sourcils, curieux) Il a dit qu’étant donné les circonstances, une cure de jouvence est indispensable pour réussir cette mission. Il te donne donc sont autorisation.
Songoku sourit. Ils n’étaient plus tous jeunes, c’est vrai. Le Doyen pensait a tout !
- Je ne l’oublierais p as, remercie-le de ma part. Posant les deux doigts sur son front, fronçant les sourcils, il ce concentra sur l’énergie de sa femme. Il disparut… pour reparaître aussitôt, à la plus grande surprise du maître qui en tomba par terre.
Le guerrier se tourna vers lui.
- Maître vous ne m’avez pas dit quand est-ce que la galaxie centrale sera arrivée.
Le roi haussa les sourcils.
- Oh ; fit-il, se rendant compte de son oubli. Bien entendu… tu as six mois pour te préparer avec tes amis.
- C’est tout s’exclama le saiyen.
Kaioh soupira.
- Hélas oui, dans six mois vous devrez partir car il vous faudra un mois pour atteindre la galaxie en vaisseau spatial. Si tout se passe bien, vous devriez arriver en même temps.
- Mais le déplacement instantané…commença le guerrier.
- Est inutilisable car l’obscurité qui entoure l’astre fait barrage à toutes les entrées à distance, ce qui inclue la télépathie et le déplacement instantané. Voila pourquoi vous devrez prendre un vaisseau. Une fois à l’intérieur de la galaxie, tu pourras utiliser ta technique comme bon te semblera.
- Très bien ! Merci encore ! Nous ferons de notre mieux.
- Je n’en doute pas, dit Kaioh.
De nouveau, notre héros se mit en position et se volatilisa.
Seul, le kaioh de la galaxie Nord soupira de soulagement.
J’espère que ce sera suffisant. Si Songoku échoue, nous sommes perdus.
Répondre
#13
vraiment bleufante ta fan fic je suis fan!! frenchemen il faudrait l'adapter en bd! si tu peut demander a des dessinateur de talent comme holken gogeta jr et Zuka! bon enfin je delire mai merci encore!
Répondre
#14
merci !

L'adapter en BD ? Pourquoi pas !


la suite bientôt !
Répondre
#15
ouai se serait genial je trouve surtout que l'histoire tien la route et est bien detailler un vrai petit roman! vivemen la suite^^
Répondre
#16
Chapitre 7 : Retour sur Terre

La Terre ! Notre merveilleuse planète ! Avec ses immenses océans bleutés, ses hautes montagnes et ses plaines verdoyantes. Il y a cinq ans elle était en ruines, victime de la puissance des dragons noirs qui avaient tout dévasté sur leur passage. Mais grâce à Songoku, ce n’était plus qu’un lointain souvenir et sa famille et ses amis avaient joué un grand rôle dans la reconstruction des nombreuses villes détruites. Aujourd’hui les cicatrices du passé ont disparu et les terriens vivent des jours paisibles.
Loin de la ville, en pleine campagne, près d’une rivière, se trouvaient trois petites maisons en forme de dôme. C’était ici que résidait la famille de Songoku. Aujourd’hui, ils déjeunaient chez Chichi. Sur la table, un grand nombre de plats étaient posés et étaient remplis d’une quantité impressionnante de nourriture alors qu’ils n’étaient que six autour de ce repas si l’on n’exceptait le petit garçon aux cheveux sombres quasi-châtains et aux grands yeux noirs qui jouait non loin de ses parents. Son père, vêtu d’un pantalon en jean et d’un tee-shirt bleu, avait des cheveux assez courts dressés sur sa tête partant tous sur un côté. Ils étaient noirs, à l’instar de ses yeux et ses traits étaient semblables à ceux de Songoku. La mère du petit était assise à côté de son mari, elle était très belle et ses longs cheveux châtains cascadaient dans son dos. Elle portait une robe courte assez claire avec des bottes blanches. En face d’eux, un autre couple était attablé : l’homme semblait être une version plus âgée et plus sérieuse du père du petit. Or mis le costume, les lunettes et la coupe de cheveux plus ‘‘droite’’, ils se ressemblaient comme d’eux gouttes d’eau. Sa femme, Videl, fille du grand champion Hercule Satan, avait de grands yeux bleus et de longs cheveux noirs formant une tresse qui tombait dans son dos. A une extrémité de la table, une femme aux cheveux mi-longs grisonnants et à l’air quelque peu sévère se tenait les bras croisés et observait la jeune femme qui venait de se lever à l’autre bout. C’était la fille de Videl et de son mari, Songohan. Elle s’appelait Pan. De longs cheveux noirs et lisses, de profonds yeux sombres (d’ordinaire emplis de curiosités) aussi dur que le métal, elle portait une robe du même type que celle de la mère du petit mais de couleur rouge. C’en était fini du petit garçon manqué qui n’en faisait qu’à sa tête, elle était une femme désormais.
Debout, sa chaise renversée, elle fixait la femme en bout de table. Les deux autres femmes observaient la scène, Videl, d’un air aussi sévère que la doyenne alors que sa belle-sœur, elle, ne semblait pas comprendre ce qu’il se passait.
Les bras le long de son corps, poings serrés, les dents grinçant, Pan paraissait vexée.
Ne pouvant plus se retenir, elle fit d’une voix forte :
- Je ne suis plus une gamine Grand-mère Chichi !
Pour appuyer ses propos, elle tapa du poing sur la table mais, n’ayant pas contrôlé sa force, la table se renversa et tous les plats s’envolèrent derrière elle sous le regards surpris des trois autres femmes alors que les deux hommes continuaient de manger dans leurs assiettes, tenues bien fermement dans leurs mains.
C’est à ce moment que Songoku choisit de faire son apparition…en plein dans la trajectoire des plats volants.
N’entendant pas de bruit de vaisselle cassée, les deux hommes levèrent la tête de leur assiette. Pan, elle, se retourna et se figea instantanément à la vue de son grand-père, debout, en train de manger le contenu des plats qu’il venait de rattraper. Une énorme pièce de viande dans la bouche, celui-ci leva la tête et prononça un ‘‘bonjour’’ quasiment incompréhensible.
Les larmes aux yeux, la jeune femme regardait son grand-père.
- Grand…Grand-père ? bégaya-t-elle très émue, ne pouvant faire un geste.
Le saiyen posa les plats par terre et s’avança en direction de sa petite fille.
- C’est toi Pan ? demanda-t-il. Tu as beaucoup changé ! Tu es une femme maintenant !
Enfin débarrassée de son blocage, elle sauta par-dessus la chaise renversée et s’agrippa au cou du guerrier, folle de joie.
- Grand-père ! Tu es enfin revenu !
Quand elle l’eu enfin lâché, Songoku se tourna vers les deux hommes et Chichi qui s’étaient levés.
- Vous avez l’air en forme.
Les deux hommes vinrent l’enlacer.
- Papa ! s’exclamèrent-ils en chœur. Tu nous as manqué.
- Songohan, Songoten, vous aussi vous m’avez manqué !
Il se retourna vers leurs femmes, toutes deux debout, côte à côte.
- Bonjour Videl, (celle-ci hocha la tête, un sourire aux lèvres). Bonjour, (il réfléchit une seconde)… Valese. La femme de Songoten eu un sourire franchement ravi.
- Eh bien tu en a mis du temps ; fit une voix sèche derrière lui.
Le saiyen se tourna pour voir sa femme approcher, bras croisés.
- Chichi ! fit-il, ravi. Tu m’as manqué.
La femme de Songoku se tint droite face à son mari et le fixa d’un regard froid. Songoku fut un peu surpris par cette attitude. Malheureusement pour elle, Chichi n’eut pas la force de tenir son petit rôle, elle éclata en sanglots et tomba dans le bras du guerrier qui la serra affectueusement.
- Toi aussi tu m’as manqué ! fit-elle, en pleurs.
- Calme toi Chichi ; dit-il d’un ton apaisant. Je suis là maintenant, tu n’as plus de raisons d’être triste.
Elle leva la tête, les yeux brillant de tristesse mais aussi d’amour. Songoku la fixa, plein de tendresse. Autour, tout le monde les regardait, touchés par cette scène.
Ce doux moment fut coupé lorsqu’une petite main agrippa le pantalon du saiyen. Le guerrier se baissa pour observer son petit fils. Le regardant d’un air curieux il fit :
- Bonjour toi ! (il leva la tête vers Songoten) Il est très mignon, mes félicitations !
- Merci ; répondit son fils. Il a deux ans. (il baissa la tête vers l’enfant) Rice dit bonjour à grand-père.
Le gamin lança un regard curieux en direction de Songoku.
- Bonjour Grand-père ; dit-il d’une voix encore maladroite.
Ce dernier eu un grand sourire ? Il prit son petit-fils dans ses bras et le souleva au dessus de sa tête ; le garçon éclata de rire sous le regard ravi de toute la famille.

Quelques heures et quinze plats plus tard, Songoku sortit de la maison en s’étirant. Dehors, le temps était magnifique, le ciel bleu ne comptait que quelques petits nuages, la nature était verdoyante et la rivière coulait paisiblement. Songoku avança et alla s’asseoir à l’ombre d’un arbre, non loin de sa maison. Assis en tailleur, il croisa les bras et ferma les yeux, sourcils froncés.
Ils sont si contents de me voir. Comment vais-je pouvoir leur annoncer qu’une nouvelle menace approche ?
Lorsqu’il ouvrit les yeux, Songohan se tenait debout devant lui, le regardant avec un regard étonné.
- Tiens Songohan ! fit-il l’air de rien mais ne pouvant cacher sa panique. J’ai vu Piccolo pendant mon séjour au Royaume des morts. Il t’embrasse.
Le demi-saiyen s’assit en face de son père.
- Ah oui ? Comment va-t-il ? demanda-t-il, curieux de savoir ce que son ancien mentor et ami faisait au Royaume de morts.
Songoku haussa les épaules.
- Bien. Il s’assure que tout se passe bien en enfer et d’après ce que j’ai vu je peux te dire que Cell et Freezer ont intérêt à se tenir à carreaux.
Son fils lâcha un rire bref.
- ça ne m’étonne pas de lui ! Il a trouvé le travail parfait ! (il s’interrompit) Papa, reprit-il après un silence pesant d’un ton plus sérieux et quelque peu inquiet. Que ce passe-t-il ? Ce n’est pas dans tes habitudes de méditer comme ça, surtout que tu viens à peine d’arriver.
Le guerrier eu un léger sourire. Son fils avait deviné.
- Je ne peux rien te cacher n’est-ce pas ? (Songohan acquiesça) Très bien ; ajouta-t-il en se relevant. Allez au palais de Dendé. Je vous y rejoindrais avec nos amis et je vous expliquerais tout.
- D’accord. Quelque peu hésitant il fit : ‘‘Papa, c’est grave ? ’’
Il n’eut qu’un hochement de tête pour seule réponse avant que son père ne disparaisse
Seul, Songohan croisa les bras et fronça les sourcils.
Pour que papa veuille que nous nous rejoignions tous, c’est que la menace qui pèse doit être terrible !
Il se leva et prit la direction de sa maison.
Plus vite nous serons au palais, plus vite nous en saurons d’avantage.

La maison de Bulma. Immense dôme jaune, marqué ‘‘Capsule Corporation’’, situé au milieu de la capitale Ouest – à nouveau dotée de ses immeubles, de ses tours se terminant par une sphère et surtout de son activité débordante – où y logeaient également sa famille et certains de ses amis.
A l’intérieur, dans une grande salle d’entraînement totalement blanche, se battaient deux hommes. L’un avait des cheveux mi-longs couleur lavande et très clairs. L’air assez dur, les yeux bleus aux iris noirs, il était vêtu d’un pantalon de combat noir et d’un débardeur assorti laissant apparaître ses muscles développés. Son adversaire, Uub, avait la peau sombre et ses cheveux noirs ne formaient qu’une grande crête. Les yeux noirs, très sérieux pendant ce combat, il portait un pantalon de combat blanc et un gilet oriental noir dévoilant ses muscles.
Songoku observait attentivement ce combat passionnant à travers une baie vitrée lorsqu’un homme passa devant lui, les bras croisés. Celui-ci se tourna vers notre héros.
- Alors ; fit-il d’une voix arrogante et très sûre de soit. Tu es est revenu. Et je suppose que cette visite et cet air sombre annoncent des ennuis ; ajouta Vegeta, très perspicace.
Plus petit et plus vieux que Songoku, il avait le regard dur et le sourire arrogant. De son front fuyant prenaient racine ses cheveux, courts et dressés sur sa tête, de manière agressive. Il n’était pas un saiyen ordinaire. Il était le Prince Vegeta, fils du souverain de ce peuple extraterrestre aujourd’hui presque éteint, Songoku, lui et leurs descendants étant les derniers représentant de ce peuple de guerriers.
Songoku fixa Vegeta. Derrière, le garçon aux cheveux lavande, Trunk, était en difficulté, il encaissait les coups de poing sans pouvoir les parer ni contre-attaquer et sont adversaire ne semblait pas vouloir gâcher son avantage. Trunk réussit à se dégager suffisamment longtemps pour se cambrer et expulser son énergie, la maison vibra quelque peu pendant la transformation de Trunk en Super Saiyen. Toujours entouré d’une aura dorée il passa à l’attaque devant le sourire de Oub.
- C’est exact, affirma le mari de Chichi. La situation est grave et nous allons devoir nous battre. Venez tous au Palais de Dendé, Songohan doit déjà y être. Je vous rejoindrai avec Krilin et les autres.
Vegeta eu un rictus en entendant les noms de leurs amis terriens.
- Je ne pense pas qu’ils soient très utiles ; déclara-t-il, moqueur.
- Peut-être. Mais ça les concerne eux aussi ; rétorqua calmement son rival. Ensuite, ils prendront leur décision.
Vegeta lâcha un petit bruit dédaigneux mais ne dit rien ;
Songoku hocha la tête.
- Alors à tout de suite ; fit-il avant de disparaître après avoir fait quelques pas.
Vegeta ouvrit la porte de la salle où les deux hommes se battaient.
- Trunk !
Celui-ci se retourna en reprenant son apparence normale, Oub s’arrêta également.
- Oui Papa ?
- Va chercher ta sœur et ta mère ; ordonna-t-il. On doit aller chez Dendé.
- Que ce passe-t-il ? Demanda son fils, curieux.
- Ne pose pas de question et obéit ; répondit le saiyen d’un ton sec.
Le demi-saiyen leva légèrement les bras en signe de protestation.
- Mais je ne peux pas y aller, je dois aller chercher Marron et Jil…
- Ils nous rejoindrons là-bas ; répondit Végéta avant même que son fils ait terminé sa phrase. (Trunk baissa les bras et abdiqua) Maintenant dépêche-toi.
- D’accord ! Oub tu viens avec moi ? demanda-t-il au jeune homme se tenant à côté de lui.
Celui-ci hocha la tête.
- Bien sûr.
Ils sortirent de la salle. Vegeta, lui, s’adossa contre le mur et croisa les bras.
Il semble avoir fait des progrès depuis cinq ans. Mais mon entraînement a payé et nous sommes sur un pied d’égalité.
Le Prince des saiyens sourit.
J’ai même un avantage. Et le défi qui nous attend me permettre de le prouver !

Le Palais de Dendé. Demi soucoupe perchée à plusieurs kilomètres au-dessus du sol, c’était un endroit paradisiaque d’une pureté et d’une architecture digne des plus grands temples où ses magnifiques rangs des palmiers ajoutaient un charme particulier à ce lieu.
C’est entre ces rangées que patientaient Songohan, Chichi et le reste de la famille. Songohan attendait tranquillement, assis en tailleur, les yeux fermés. Videl était près de lui. Songoten et Valese s’émerveillaient devant le petit Rice en train d’observer un papillon. Pan patientait debout, bras croisés. Chichi…faisait les cent pas, visiblement courroucée.
- Il m’énerve ! fit-elle, hurlant presque. A peine est-il arrivé qu’il va déjà repartir affronter je ne sais quel monstre.
Son fils ouvrit les yeux et regarda sa mère.
- Calme toi maman, on ne sait pas encore ce qui ce passe.
Au lieu de la calmer, ses paroles eurent l’effet inverse. Elle le foudroya du regard.
- Mais bien sûr que si ! ça devient une habitude. Il y a encore un monstre qui s’est échappé de l’Enfer ou le fils d’un de ces monstres qui veux se venger ! spécula-t-elle. Ne me prend pas pour une idiote ! A chaque fois c’est pareil ! termina-t-elle, quasi hystérique.
Le demi-saiyen eu un mouvement de recul face à l’agressivité de sa mère.
- Ne t’énerve pas Chichi ; fit une voix paisible provenant de l’entrée du palais. Nous allons bientôt savoir ce qu’il se passe.
_________________
Répondre
#17
Tous se retournèrent, pour vois Dendé, dieu de la Terre, et son serviteur Mr Popo. Ils étaient exceptionnellement accompagnés de Maître Karine, un chat blanc tenant un bâton d’ermite, chef de la tour sacrée située en dessous du palais, et de Yajirobé, un homme hirsute messager et compagnon du maître. Dendé était un namek, plus jeune que Piccolo et d’allure moins guerrière, il portait une toge blanche. Mr Popo était un être très particulier. Petit et trapus, il avait la peau noire et des lèvres charnues. Ses grands yeux noirs ne clignaient jamais, le rendant effrayant pour beaucoup de personnes. Sa tenue était semblable à celle de Oub.
- Dendé ! s’exclama Songohan, content de revoir le dieu.
Le namek sourit.
- Nous sommes heureux de vous revoir, fit Dendé.
Ses compagnons hochèrent la tête.
Songohan se leva et s’approcha du Dieu.
- Dendé, sais-tu ce qui se passe ? demanda-t-il.
Celui-ci baissa la tête, l’air coupable.
- Je suis navré Songohan. Il faudra attendre Songoku.
- Ce n’est pas grave ; le rassura-t-il, nous pouvons encore attendre un peu.
Le namek hocha la tête avec un sourire rassuré.
- Quelqu’un arrive ! cria Songoten en se retournant.
Tous levèrent la tête.
- C’est Vegeta ; informa son frère.
Trois silhouettes entourées d’un halo d’énergie blanchâtre apparurent au-dessus de leurs têtes. Vegeta, Oub et Trunk se posèrent sur le sol du palais, faisant disparaître l’aura qui les entouraient. Un petit avion jaune arriva juste derrière eux et se posa à côté des trois hommes. Le cockpit s’ouvrit et deux femmes en sortirent. L’une, vêtue d’une longue robe jaune, devait avoir l’age de Chichi, peut-être plus. Elle avait des cheveux bleus assortis à ses grands yeux profonds. Elle restait très belle, malgré son age. L’autre était sa fille. Environ l’age de Pan, elle ressemblait beaucoup à sa mère hormis des cheveux plus longs virant un peu sur le vert et un air plus sévère. Elle portait un pantalon en jean et un tee-shirt rouge.
Songohan et ses compagnons les rejoignirent.
La femme aux cheveux bleus regarda tout autour d’elle. Une fois cette inspection terminée elle regarda le demi-saiyen.
- Mais où est Songoku ? Je croyais qu’il nous avait donné rendez-vous ici.
- Détend toi Bulma, il est allé chercher Krilin et les autres ; expliqua Gohan. Je pense qu’il ne devrait plus tarder maintenant.
A peine eut-il terminé sa phrase que Songoku apparut, plusieurs personnes lui tenant sa tunique. Il y avait Krilin, un petit homme âgé, les cheveux grisonnants ainsi que la moustache. Les yeux noirs constamment étonnés, il n’avait pas de nez. Derrière lui ce trouvait sa femme, C-18, cyborg autrefois ennemie de nos héros. Ses cheveux blonds coupés courts, ses habits stricts et son air sévère la rendait très intimidante. A leurs côtés, leur fille Marron portait un petit garçon aux cheveux lavande dans ses bras. Marron avait hérité des cheveux blonds (bien que plus longs) de sa mère ainsi que de son nez. Mais l’expression de son visage, à la fois amicale et toujours étonnée, était une particularité qu’elle tenait de son père. Elle portait une robe rose. Elle avança directement dans la direction de Trunk qui lui fit un grand sourire en la voyant s’approcher. Plus à l’écart on pouvait apercevoir Yamcha, Tenshinhan et Chaoz.
Yamcha était un homme aussi âgé que Bulma. Une cicatrice lui barrait l’œil droit et une autre la joue gauche. Il avait de longs cheveux noirs et portait un costume ocre. Il était accompagné de Plume, un petit chat volant. Tenshinhan et Chaoz portaient tous deux un pantalon de combat vert bandé de jaune aux chevilles et un débardeur blanc. Grand chauve très musclé, la mine sérieuse, Tenshinhan possédait un troisième œil au milieu du front améliorant grandement sa vue, chose utile lors d’un combat. Son compagnon était exactement l’inverse. Très petit, il ressemblait à un enfant. La peau légèrement bleutée, son visage aux pommettes rouges et aux grands yeux immobiles était indéchiffrable. Il portait un petit chapeau, cachant un unique cheveu sur son crâne. Le père de Videl était également présent. Pantalon blanc, veste marron tenue par une ceinture, il avait le crâne dégarni et sa moustache tombante rejoignait les vestiges de sa coupe afro. De petits yeux bleus, il avait un air ébahit sans doute dû au nombre de personnes présentes.
De l’autre côté, Songoku tenait un vieillard aux barbe et moustache blanches. Vêtu d’un short jaune et d’un tee-shirt vert, il portait des lunettes de soleil. Le guerrier le tenait à bout de bras et Tortue Géniale – c’était son nom – se débattait, faisant preuve d’une vivacité peu commune pour son age, ce qui étonna Oolong, un petit cochon vêtu d’un pantalon tenu par des brettelles, qui se tenait proche de Songoku.
- Non pas question ! criait le vieil homme. Je ne veux pas y aller c’est l’heure de mon émission préférée, laisse moi tranquille. Je ne veux pas y aller, je ne veux pas y aller !
Comme ils étaient arrivés, Songoku le lâcha et le vieux maître rebondit sur le sol du palais. Il atterrit aux pieds de Pan qui resta impassible. Mais le vieillard changea complètement d’attitude et pris un air intéressé. Toujours couché par terre, il croisa les bras et regarda au-dessus de lui, sous la jupe de la jeune femme.
Avec un grand sourire il fit :
- Oh ! Mais je vois que la vue n’est pas mal du tout ici.
Pan baissa les yeux et aperçu le vieil homme. Enervée, elle serra les dents et le frappa d’un coup de pied fulgurant en criant ‘‘Dégage ! ‘‘. Tortue Géniale fit un vol plané et finit sa course en percutant le tronc d’un palmier et en poussant des gémissements de douleur.
- Et ne t’avise plus de recommencer ; lui conseilla la fille de Gohan.
Il y eut plusieurs rires. Songoku fit un pas en avant et tous s’approchèrent – Tortue géniale en se tenant le dos – et formèrent un cercle.
- Mes amis, merci d’être tous venus ; fit-il d’un ton grave et sérieux. Ceci vous concerne tous.
A ces mots, il inspira à fond et leur raconta mots pour mots ce que lui avait révélé Kaioh.
Quand il eut fini, un silence glacial régnait dans le palais et seuls C-18 et Vegeta restaient impassibles. Les autres, la bouche ouverte, tremblant de tous leurs membres, étaient horrifiés.
Répondre
#18
Nyaaah! Cool, les retrouvailles! Cela fait plaisir de "revoir" tout le monde.

Ah la la! Comme tu es régulier dans tes qualités, c'est dur de te trouver des trucs neufs à dire. Car les descriptions que tu fais des personnages, leurs attitudes, leurs façons de parler sont très fidèles à l'original. Les images en anime viennent tout naturellement à l'esprit quand on te lit, tout comme je les "entends" presque parler.

La scène avec Kame Sennin, par exemple, je la "voyais" défiler clairement dans ma tête, tellement c'était bien décrit et parfaitement... ça. Et puis, c'était drôle. Icon_lol Je ne saurais dire pourquoi, mais cette scène est pour moi un des exemples qui montrent l'influence dominante de l'anime sur ta façon d'écrire. (Je suis incapable d'imaginer cette scène en manga. Alors qu'elle me paraît naturelle en anime.)

Pour l'instant, du peu que tu as montré, j'aime bien le caractère de Pan! (Je dis ça, parce que comme tu le sais, je la hais dans DBGT, alors c'est notable.)

La critique, maintenant: Tu aurais dû plus aérer ton texte, en mettant plus de paragraphes. Là, c'est trop compact, cela peut rébuter de voir ça.

En tout cas, j'attends sagement la suite! Icon_biggrin
Répondre
#19
Merci !

Je pense avoir des progrès a faire. Surtout au niveau du vocabulaire qui est un peu limité.
Mais que tu trouves que tout colle en "anime" me fait très plaisir car c'est exactement ce que j'ai voulu faire.
Pour aérer tu veux dire quoi ? que je saute des lignes ? ou faire plus de paragraphes ?

je ne sais pas quand sera la suite. Mes 8h des philo par semaine ne me laissent pas bcp de temps Icon_cry
Répondre
#20
Ben, mets plus de paragraphes. Avec une ligne d'espacement entre chacun d'eux.
Répondre


Atteindre :


Utilisateur(s) parcourant ce sujet : 1 visiteur(s)