08-12-2007, 06:17 PM
De retour de vacances !
Merci pour vos commentaire ça fait plaisir !
voici le chapitre suivant !
Chapitre 4 : Une volonté pure
L’Enfer portait bien son nom. Le paysage n’était qu’un ensemble rocheux aux allures agressives traversé par des rivières de lave. Aucune plante, une absence totale de vie. Au-dessus, le ciel pourpre emplit de malfaisance n’était guère accueillant.
Songoku avait trouvé son vieil ami, Piccolo. C’était un habitant de la planète Namek, il ressemblait à un humain excepté sa peau verte, ses oreilles et ses antennes sur la tête. Les nameks avait des pouvoirs surprenants. Piccolo était autrefois un ennemi mais aujourd’hui il était une personne sur qui on pouvait compter. Ses conseils étaient très utiles, surtout depuis qu’il avait uni ses forces avec l’ancien dieu de la Terre -un namek aussi- le Tout-puissant.
S’étant sacrifié cinq ans auparavant, pensant être responsable des malheurs arrivant à la Terre, Piccolo était maintenant chargé d’assurer le calme en Enfer, tâche qu’il avait lui-même choisit.
Le namek était assis en tailleur sur un rocher regardant Songoku en contrebas. Celui-ci venait d’engloutir un énième morceau de viande en à peine quelques secondes ! Il bu bruyamment un bol de soupe sous le regard amusé de Piccolo. Il se frappa le torse d’un poing viril et dit, d’un ton reconnaissant :
- Merci mon ami, j’avais très faim !
- Mais de rien, répondit l’autre. (il jeta un regard vers l’amas d’assiettes, de bols et d’os se trouvant par terre) Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu le spectacle d’un saiyen en train de manger, ajouta-t-il.
- En tout cas la nourriture est bien meilleure que la dernière fois, constata Songoku, se souvenant de son dernier séjour en Enfer, il y a cinq années de cela : il avait trouvé des crânes dans sa soupe.
Piccolo, présent aussi ce jour là, ne pu s’empêcher d’échapper un léger rire avant d’ajouter avec un sourire carnassier :
- Grâce à toi, nous avons désormais une source illimitée de queue de dragon maléfique !
- Quoi ! s’exclama le guerrier, se relevant soudainement, stupéfié. Tu veux dire que je viens de manger la queue des dragons que j’ai envoyé ici avec Pan lors de notre dernière bataille ?!
Reprenant ses esprits, se tenant le menton d’une main, il ajouta :
« Après tout c’était pas mauvais… »
Son expression changea soudainement. Les yeux brillants de désir, l’air suppliant il demanda :
« Tu en as encore un peu Piccolo ? S’il te plait j’ai encore un petit creux »
Le Namek en tomba de stupéfaction. Se relevant, il fixa son ami.
- Je suppose que tu n’est pas venu ici pour te goinfrer Songoku, fit-il agacé. D’ailleurs pourquoi est-tu là ? J’avoue ne pas comprendre...
- Eh bien cela va te surprendre mais le Doyen des dieux veux me renvoyer sur Terre mais avant cela je dois m’entraîner !
- Je vois…fit-il de sa voix gutturale si caractéristique. Mais que dois-tu faire exactement ? Tous ceux que tu as envoyé ici son beaucoup moins forts que toi, tu vas n’en faire qu’une bouchée, lui fit remarquer le namek.
- Tu n’y es pas du tout Piccolo. (il leva un doit en l’air, pointant les nuages jaunes au-dessus du ciel qui formaient la frontière entre le Paradis et l’Enfer) Tu vois cette couche nuageuse ?
Il leva la tête.
« Eh bien je dois la traverser, c’est ma première épreuve; lui expliqua le saiyen. Mais pour l’instant mes tentatives n’ont pas rencontré le succès auquel je m’attendais et pourtant j’y ai mis pas mal de puissance ; ajouta-t-il, déçu.
- Intéressant, fit le namek, pensif. Personne n’a jamais réussi à traverser cette barrière Songoku et je ne pense pas que ce soit la puissance qui ait fait défaut à ceux qui se sont risqués à essayer ; renchérit-il, les yeux fermés.
- Mais alors qu’était-ce ? demanda Songoku, ne comprenant pas où son ami voulait en venir.
Ouvrant les yeux, il fixa Songoku et déclara d’un ton sans le moindre once de doute :
- Ce qui leur manquait c’est la volonté ! Une volonté pure et implacable !
Songoku eu un mouvement de recul, frappé de stupeur et d’incompréhension.
- Qu’entends-tu par ‘‘volonté pure’’ ? demanda-t-il. Je ne comprends pas.
Piccolo leva un doigt, tel un professeur expliquant une leçon à son élève.
- D’après ce que je sais, cette barrière est faite pour empêcher les personnes entrées en Enfer d’en ressortir. Ces personnes ont commis des actes répréhensibles et ceux qui désirent s’échapper le font avec des envies de vengeance. Je pense que c’est pour cela qu’ils ne peuvent la traverser! Les concepteurs de ce mur savaient que ces êtres perfides seraient incapables de se concentrer uniquement sur leur seul désir de franchir cette barrière pour réussir !
- Je crois comprendre ; dit Songoku. Il faut que la seule chose à laquelle je dois penser, c’est franchir cette couche nuageuse !
Le namek hocha la tête.
- Oui c’est exactement ça.
- Très bien. Je vais essayer ; déclara-t-il, une conviction nouvelle dans sa voix.
Il s’envola et s’arrêta à mi-chemin entre le sol et les nuages. Droit, les bras tendus, poing serrés, les jambes légèrement écartées, il inspira profondément et ferma les yeux, se concentrant.
Soudain, une pensée lui traversa l’esprit. Il tourna d’un quart de tour et cria à Piccolo, situé juste en dessous.
- Dis moi, ce n’est pas dangereux de dire le moyen de sortir à voix haute ? demanda Songoku, inquiet que ses anciens ennemis ne réussissent à s’échapper et sèment la pagaille au Paradis. Ils sont bêtes et méchants mais ils peuvent nous surprendre, ajouta-t-il.
Le namek eu de nouveau un sourire carnassier.
- Ne t’inquiète pas, à l’heure qu’il est les résidents de l’Enfer ne sont plus en mesure d’entendre quoique ce soit. A la seconde où tu as mis les pieds en Enfer, j’ai pris quelques précautions.
En effet, à une centaine de mètres de là, derrière une falaise, était entassés un nombre incalculable d’êtres qui avaient autrefois combattu Songoku. On pouvait apercevoir un monstre ressemblant à une cigale, un extra-terrestre blanc et violet, de drôles de personnages portant des armures identiques ou encore quelques dragons.
Certains gémissaient de douleur mais les autres restaient évanouis.
Songoku hocha la tête, conscient que son ami avait du faire des progrès énormes en faisant la police en Enfer. Il devrait se méfier sinon le namek risquerait de le dépasser.
Il reprit sa position initiale, refermant les yeux, il se concentra.
Le silence était désormais total.
Rouvrant les yeux, le saiyen s’élança en direction des nuages. Le regard déterminé, il ne faisait aucun doute qu’il allait réussir, rien ne l’arrêterait ! C’est à ce moment là que le long turban orange (de son costume), faisant office de ceinture, choisit de s’emmêler dans ses jambes. Le guerrier perdit sa concentration, son attention fixée sur le morceau de tissu. Le seul problème fut qu’il ne pu s’arrêter à temps et… il s’écrasa lamentablement la paroi.
Le saiyen descendit de quelques mètres, se frottant frénétiquement la tête.
Ayant observé la scène, Piccolo n’en croyait pas ses yeux.
Songoku se dirigea vers le guerrier à la peau verte, l’air gêné.
- Ces vêtements ne sont vraiment pratique ; déclara-t-il en tirant sur sa tenue. Il releva la tête vers le namek. Tu n’en aurais pas un plus confortable Piccolo ?
Ce dernier souris légèrement.
- Bien sûr Songoku, que dirais-tu de ton ancienne tenue de combat ?
- Tu peux faire ça ? demanda-t-il en retour, l’air franchement ravi.
- Mais je peux tout faire tu sais ; répondit-il, un rien de fierté dans sa voix.
Le namek posa sa main sur la tête du saiyen, un léger halo de lumière entoura ce dernier alors que ses vêtements changeaient, comme pas magie.
Quand ce fut terminé, Songoku s’examina de tous côtés et déclara au namek, d’un ton à la fois satisfait et reconnaissant :
- Parfait ! Voila une tenue pratique ! Merci Piccolo.
Sa tenue était semblable à celle qu’il avait porté la plus grande partie de sa vie.
Elle se composait de bottes noires à liserés jaunes, d’un pantalon de combat orange tenu par un turban bleu foncé (beaucoup plus court que l’ancien), d’une tunique sans manches assortie au pantalon avec un col plongeant jusqu’au sternum laissant entrevoir un tee-shirt bleu marine qui apparaissait également au niveau des bras. Des bandeaux de la même couleur accrochés aux poignets complétaient le tout.
Une chose était sûre, avec cette tenue, il ne passerait pas inaperçu dans l’obscurité de l’Enfer.
Il regarda l’étendue nuageuse.
- J’y retourne ; fit-il à son ami. Cette fois plus rien ne pourra m’arrêter.
Avant que le namek n’ait pu répondre quoique ce soit, le saiyen s’envola de nouveau en direction des nuages. Il se concentra, et s’élança.
Il filait à toute vitesse, les bras en avant.
L’observant, Piccolo déclara, le poing serré :
- Il va réussir !
Songoku était près du but, encore quelques mètres…ça y’est ! Ses bras venaient de passer la frontière !
Génial ! pensait-il. J’ai réussi ! Encore un effort et je pourrais revoir Chichi et les enfants !
C’est alors qu’il se rendit compte de son erreur, et il constata ses conséquences : il était bloqué ! Comme suspendu à un plafond ! Il se débattit essayant de se décrocher. La couverture nuageuse libera ses mains et il fut de nouveau libre… mais en Enfer.
Le guerrier, toujours en l’air, croisa les bras et pris un air songeur.
- C’est trop bête ! J’ai tout gâché ! ajouta-t-il en se frappant le front.
- Ne te décourage pas Songoku ; l’encouragea Piccolo. Tu ne peux pas tout réussir du premier coup.
- Tu as raison. Je réussirais cette fois : déclara-t-il en serrant les poings.

Merci pour vos commentaire ça fait plaisir !
voici le chapitre suivant !
Chapitre 4 : Une volonté pure
L’Enfer portait bien son nom. Le paysage n’était qu’un ensemble rocheux aux allures agressives traversé par des rivières de lave. Aucune plante, une absence totale de vie. Au-dessus, le ciel pourpre emplit de malfaisance n’était guère accueillant.
Songoku avait trouvé son vieil ami, Piccolo. C’était un habitant de la planète Namek, il ressemblait à un humain excepté sa peau verte, ses oreilles et ses antennes sur la tête. Les nameks avait des pouvoirs surprenants. Piccolo était autrefois un ennemi mais aujourd’hui il était une personne sur qui on pouvait compter. Ses conseils étaient très utiles, surtout depuis qu’il avait uni ses forces avec l’ancien dieu de la Terre -un namek aussi- le Tout-puissant.
S’étant sacrifié cinq ans auparavant, pensant être responsable des malheurs arrivant à la Terre, Piccolo était maintenant chargé d’assurer le calme en Enfer, tâche qu’il avait lui-même choisit.
Le namek était assis en tailleur sur un rocher regardant Songoku en contrebas. Celui-ci venait d’engloutir un énième morceau de viande en à peine quelques secondes ! Il bu bruyamment un bol de soupe sous le regard amusé de Piccolo. Il se frappa le torse d’un poing viril et dit, d’un ton reconnaissant :
- Merci mon ami, j’avais très faim !
- Mais de rien, répondit l’autre. (il jeta un regard vers l’amas d’assiettes, de bols et d’os se trouvant par terre) Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu le spectacle d’un saiyen en train de manger, ajouta-t-il.
- En tout cas la nourriture est bien meilleure que la dernière fois, constata Songoku, se souvenant de son dernier séjour en Enfer, il y a cinq années de cela : il avait trouvé des crânes dans sa soupe.
Piccolo, présent aussi ce jour là, ne pu s’empêcher d’échapper un léger rire avant d’ajouter avec un sourire carnassier :
- Grâce à toi, nous avons désormais une source illimitée de queue de dragon maléfique !
- Quoi ! s’exclama le guerrier, se relevant soudainement, stupéfié. Tu veux dire que je viens de manger la queue des dragons que j’ai envoyé ici avec Pan lors de notre dernière bataille ?!
Reprenant ses esprits, se tenant le menton d’une main, il ajouta :
« Après tout c’était pas mauvais… »
Son expression changea soudainement. Les yeux brillants de désir, l’air suppliant il demanda :
« Tu en as encore un peu Piccolo ? S’il te plait j’ai encore un petit creux »
Le Namek en tomba de stupéfaction. Se relevant, il fixa son ami.
- Je suppose que tu n’est pas venu ici pour te goinfrer Songoku, fit-il agacé. D’ailleurs pourquoi est-tu là ? J’avoue ne pas comprendre...
- Eh bien cela va te surprendre mais le Doyen des dieux veux me renvoyer sur Terre mais avant cela je dois m’entraîner !
- Je vois…fit-il de sa voix gutturale si caractéristique. Mais que dois-tu faire exactement ? Tous ceux que tu as envoyé ici son beaucoup moins forts que toi, tu vas n’en faire qu’une bouchée, lui fit remarquer le namek.
- Tu n’y es pas du tout Piccolo. (il leva un doit en l’air, pointant les nuages jaunes au-dessus du ciel qui formaient la frontière entre le Paradis et l’Enfer) Tu vois cette couche nuageuse ?
Il leva la tête.
« Eh bien je dois la traverser, c’est ma première épreuve; lui expliqua le saiyen. Mais pour l’instant mes tentatives n’ont pas rencontré le succès auquel je m’attendais et pourtant j’y ai mis pas mal de puissance ; ajouta-t-il, déçu.
- Intéressant, fit le namek, pensif. Personne n’a jamais réussi à traverser cette barrière Songoku et je ne pense pas que ce soit la puissance qui ait fait défaut à ceux qui se sont risqués à essayer ; renchérit-il, les yeux fermés.
- Mais alors qu’était-ce ? demanda Songoku, ne comprenant pas où son ami voulait en venir.
Ouvrant les yeux, il fixa Songoku et déclara d’un ton sans le moindre once de doute :
- Ce qui leur manquait c’est la volonté ! Une volonté pure et implacable !
Songoku eu un mouvement de recul, frappé de stupeur et d’incompréhension.
- Qu’entends-tu par ‘‘volonté pure’’ ? demanda-t-il. Je ne comprends pas.
Piccolo leva un doigt, tel un professeur expliquant une leçon à son élève.
- D’après ce que je sais, cette barrière est faite pour empêcher les personnes entrées en Enfer d’en ressortir. Ces personnes ont commis des actes répréhensibles et ceux qui désirent s’échapper le font avec des envies de vengeance. Je pense que c’est pour cela qu’ils ne peuvent la traverser! Les concepteurs de ce mur savaient que ces êtres perfides seraient incapables de se concentrer uniquement sur leur seul désir de franchir cette barrière pour réussir !
- Je crois comprendre ; dit Songoku. Il faut que la seule chose à laquelle je dois penser, c’est franchir cette couche nuageuse !
Le namek hocha la tête.
- Oui c’est exactement ça.
- Très bien. Je vais essayer ; déclara-t-il, une conviction nouvelle dans sa voix.
Il s’envola et s’arrêta à mi-chemin entre le sol et les nuages. Droit, les bras tendus, poing serrés, les jambes légèrement écartées, il inspira profondément et ferma les yeux, se concentrant.
Soudain, une pensée lui traversa l’esprit. Il tourna d’un quart de tour et cria à Piccolo, situé juste en dessous.
- Dis moi, ce n’est pas dangereux de dire le moyen de sortir à voix haute ? demanda Songoku, inquiet que ses anciens ennemis ne réussissent à s’échapper et sèment la pagaille au Paradis. Ils sont bêtes et méchants mais ils peuvent nous surprendre, ajouta-t-il.
Le namek eu de nouveau un sourire carnassier.
- Ne t’inquiète pas, à l’heure qu’il est les résidents de l’Enfer ne sont plus en mesure d’entendre quoique ce soit. A la seconde où tu as mis les pieds en Enfer, j’ai pris quelques précautions.
En effet, à une centaine de mètres de là, derrière une falaise, était entassés un nombre incalculable d’êtres qui avaient autrefois combattu Songoku. On pouvait apercevoir un monstre ressemblant à une cigale, un extra-terrestre blanc et violet, de drôles de personnages portant des armures identiques ou encore quelques dragons.
Certains gémissaient de douleur mais les autres restaient évanouis.
Songoku hocha la tête, conscient que son ami avait du faire des progrès énormes en faisant la police en Enfer. Il devrait se méfier sinon le namek risquerait de le dépasser.
Il reprit sa position initiale, refermant les yeux, il se concentra.
Le silence était désormais total.
Rouvrant les yeux, le saiyen s’élança en direction des nuages. Le regard déterminé, il ne faisait aucun doute qu’il allait réussir, rien ne l’arrêterait ! C’est à ce moment là que le long turban orange (de son costume), faisant office de ceinture, choisit de s’emmêler dans ses jambes. Le guerrier perdit sa concentration, son attention fixée sur le morceau de tissu. Le seul problème fut qu’il ne pu s’arrêter à temps et… il s’écrasa lamentablement la paroi.
Le saiyen descendit de quelques mètres, se frottant frénétiquement la tête.
Ayant observé la scène, Piccolo n’en croyait pas ses yeux.
Songoku se dirigea vers le guerrier à la peau verte, l’air gêné.
- Ces vêtements ne sont vraiment pratique ; déclara-t-il en tirant sur sa tenue. Il releva la tête vers le namek. Tu n’en aurais pas un plus confortable Piccolo ?
Ce dernier souris légèrement.
- Bien sûr Songoku, que dirais-tu de ton ancienne tenue de combat ?
- Tu peux faire ça ? demanda-t-il en retour, l’air franchement ravi.
- Mais je peux tout faire tu sais ; répondit-il, un rien de fierté dans sa voix.
Le namek posa sa main sur la tête du saiyen, un léger halo de lumière entoura ce dernier alors que ses vêtements changeaient, comme pas magie.
Quand ce fut terminé, Songoku s’examina de tous côtés et déclara au namek, d’un ton à la fois satisfait et reconnaissant :
- Parfait ! Voila une tenue pratique ! Merci Piccolo.
Sa tenue était semblable à celle qu’il avait porté la plus grande partie de sa vie.
Elle se composait de bottes noires à liserés jaunes, d’un pantalon de combat orange tenu par un turban bleu foncé (beaucoup plus court que l’ancien), d’une tunique sans manches assortie au pantalon avec un col plongeant jusqu’au sternum laissant entrevoir un tee-shirt bleu marine qui apparaissait également au niveau des bras. Des bandeaux de la même couleur accrochés aux poignets complétaient le tout.
Une chose était sûre, avec cette tenue, il ne passerait pas inaperçu dans l’obscurité de l’Enfer.
Il regarda l’étendue nuageuse.
- J’y retourne ; fit-il à son ami. Cette fois plus rien ne pourra m’arrêter.
Avant que le namek n’ait pu répondre quoique ce soit, le saiyen s’envola de nouveau en direction des nuages. Il se concentra, et s’élança.
Il filait à toute vitesse, les bras en avant.
L’observant, Piccolo déclara, le poing serré :
- Il va réussir !
Songoku était près du but, encore quelques mètres…ça y’est ! Ses bras venaient de passer la frontière !
Génial ! pensait-il. J’ai réussi ! Encore un effort et je pourrais revoir Chichi et les enfants !
C’est alors qu’il se rendit compte de son erreur, et il constata ses conséquences : il était bloqué ! Comme suspendu à un plafond ! Il se débattit essayant de se décrocher. La couverture nuageuse libera ses mains et il fut de nouveau libre… mais en Enfer.
Le guerrier, toujours en l’air, croisa les bras et pris un air songeur.
- C’est trop bête ! J’ai tout gâché ! ajouta-t-il en se frappant le front.
- Ne te décourage pas Songoku ; l’encouragea Piccolo. Tu ne peux pas tout réussir du premier coup.
- Tu as raison. Je réussirais cette fois : déclara-t-il en serrant les poings.